Initiée dès 2020, la série HARMONY & NATURE est un retour à la terre, à son harmonie intrinsèque et organique. Faisant suite à sa précédente série ÉNERGIE créée en 2019, on retrouve, toujours présente en filigrane de l’approche picturale de l’artiste, la lumière qui illumine et transcende matières et ombres. Sa légèreté ou son épaisseur apparaît ici comme un élément clé chez l’artiste. La lumière lui permet de mêler, assembler, juxtaposer les formes en un espace terriblement vivant et harmonieux. Aussi contemplatif que volatile, ainsi que le signalent furtivement les hexagrammes du I-Ching, le livre chinois des transformations, que Carole Bécam distille savamment par touches discrètes sur l’une de ses toiles « Creativity ». Depuis plus de 20 ans, les toiles de Carole BECAM, en un mouvement continu, découlent d'une connexion au VIVANT, et donnent à sentir un art évolutif, inspirant, intuitif, brut. Et nécessairement abstrait.
CREATIVITY
140 x 99 - Huile sur toile - 2022
« Mais d'où viennent ces inspirations auxquelles je me relie sans mot dire ? »
MISERICORDIA
150 x 120 - Huile sur toile - 2022
« Être est "l'état d'être" non séparé des êtres séparés » | Chuang Tse
LE PARFUM DE LA TERRE
121,5 x 81 - Huile sur toile - 2022
« Au carrefour de toutes les forces, l'incandescent »
TERRE DE FEU
117,5 x 98,5 - Huile sur toile - 2021
« Origines et causes d'un feu qui abrase et arase »
EXPLOSIONS
130 x 97 - Huile sur toile - 2022
« La terre semble une esplanade géante et organique à toute chaotique explosion »
TIERRA
150 x 120 - Huile sur toile - 2022
« Sais-tu ? »
OFFRANDES
130 x 97 - Huile sur toile - 2021
« Cœur du monde : croisements »
UN SOUFFLE
100 x 100 - Huile sur toile - 2020
« Sur les légendes des cailloux, respire, respire, respire »
HARMONIE - NATURE
130 x 97 - Huile sur toile - 2022
« La joie, dans une œuvre d'art; c'est de pressentir sa liberté » | Eric BARRET
ERRANCE VAGABONDE
130 x 97 - Huile sur toile - 2022
« Peu importe l'errance, si l'on chemine »
SANS TITRE
130 x 97 - Huile sur toile - 2020
« Te caches-tu encore, toi, la rose de là-bas ? »