EXPOSITION COLLECTIVE "LA LUMIÈRE EN FILIGRANE" | GALERIE TrES | NANTES


#Du 20 février au 10 mars 2018 : exposition collective "La lumière en filigrane" à la Galerie TrES à Nantes

Galerie TrES-  3 rue Bossuet 44000 Nantes

09 83 24 79 32 - 06 83 55 66 49

Du mardi au samedi de 14 à 19h

 

 

 

 

La lumière sur les toiles de ces quatre plasticiens, en filigrane, a séduit le galeriste Ji Chang-Rim, artiste peintre coréen, autrefois enseignant à Séoul. Il y a plus de dix ans, c'est la ville de Nantes qu'il choisissait pour créer la Galerie TrES. Passerelle entre l'Orient et l'Occident.

Jusqu'au 10 mars, la Galerie ouvre son espace aux toiles de Carole Bécam, Ji-Young Kim, Legilles et Jean-François Sublet. 

 

Extrait du communiqué de presse :

 

Carole Bécam

D’une curiosité toujours en éveil qui la pousse à explorer sans cesse de nouvelles voies picturales et graphiques, elle va à l’essentiel, se délestant de tout ce qui pourrait encombrer le chemin qui mène au but. La lumière fuse, les mouvements deviennent aériens, la pureté envahit la toile. Et de cette subtilité, de cette poésie abstraite, de cette évanescence surgissent la force, l’évidence, l’événement artistique.

 

 

 

 

 

 

Ji-Young. Kim (Young.K)

Cette Coréenne peint des nuages. Ou des formes irrégulières qui flottent on ne sait où, des formes qui disent un monde instable et qui se tiennent entre le virtuel et le réel, se contredisent entre elles.Ou des esprits libres et pleins d’espoir, des reflets de la vie quotidienne, des médiateurs de l’imaginaire.

 

Legilles

Quand il amorce une œuvre, l’intention de départ n’a pas vocation à devenir un carcan rigide. Au contraire, il s’agit de composer, de dialoguer avec les impulsions qui traversent l’artiste et proposent parfois d’inattendus développements, d’accepter les accidents qui remettent en cause l’intégrité de l’œuvre, mais en suggèrent une autre toute différente, d’agréer ce qui jaillit à l’improviste, ce qui s’impose vigoureusement. La peinture de Legilles vibre comme la lumière de la Loire qu’il est venu chercher ici. 

 

Jean-François Sublet

« J'essaie de limiter le graphisme et la construction afin de ne garder que les plans colorés, sans géométrie et disposés à l'horizontale, un peu froidement et sans mouvements, ou occupant toute la surface de la toile. Je choisis parfois des rapports de couleurs que je souhaite "ingrats", auxquels l'œil n'est pas toujours habitué. J'évite de "flatter l'œil" et préfère le stimuler, lui demander un effort. »


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